Espeland M et al. Brain and white matter hyperintensity volumes after 10 years of random assignment to lifestyle intervention. Diabetes Care 2016;39:764-771. doi: 10.2337/dc15-2230
 

 

Le diabète de type 2 (DT2) peut avoir des effets délétères sur le cerveau, en lien avec l’insulinorésistance cérébrale, les alternances d’hypo- et d’hyperglycémies, et avec les facteurs indirects fréquemments associés (hypertension artérielle, dyslipidémie, syndrome dépressif…) [1]. Les sujets atteints d’un DT2 sont ainsi à risque de développer une atrophie cérébrale et des troubles cérébrovasculaires qui peuvent favoriser la survenue prématurée de troubles cognitifs [2]. De façon réciproque,...